« Muscunu », « disconu », « théâtrenu »… En France et en Belgique, la liste des activités naturistes possibles en zone urbaine s’allonge au fil des mois. Phénomène de mode ou nouvelle tendance amenée à perdurer ? L’enquête est menée dans Naturisme Magazine N°65, après un mois de février 2020 particulièrement riche en la matière.
Cela a commencé au musée de la Boverie à Liège, en Belgique, avec l’exposition « Hyperrealism Sculpture. Ceci n’est pas un corps ». 300 visiteurs Belges, Français et Hollandais, sont venus admirer, dans le plus simple appareil, une quarantaine de sculptures hyperréalistes. Quelques semaines plus tard, cette fois à Romainville, dans le 93, le collectif Talents Naturistes, en partenariat avec l’Association des Naturistes de Paris, invitait les naturistes franciliens à explorer la nouvelle friche culturelle de la Fondation Fiminco, à l’occasion de la 69ème édition de Jeune Création. Là encore, un public entièrement nu a découvert une sélection de jeunes artistes venus présenter leurs œuvres.
Deux visites d’expositions d’art contemporain en l’espace d’un mois… Pardon, mais avec la meilleure volonté du monde, on ne peut retenir une question de fond : Mais qu’ont-ils donc tous à visiter des expos tout nus ? Pour comprendre les raisons de cette dernière marotte, nous avons questionné Laurent Luft, président de l’Association des Naturistes de Paris, et Stéphane Charlot-Dufour du collectif Talents Naturistes. Les deux hommes n’en sont pas à leur coup d’essai. L’association avait déjà organisé une visite nue du Palais de Tokyo en mai 2018.
Suite du dossier (5 pages) dans Naturisme Magazine N°65.
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