Il fait beau en Guadeloupe, en février. Une météo idéale pour y pratiquer le naturisme, là où c’est possible. Ce que Jean-Pierre a fait avec son épouse, pour des Instants naturistes… particuliers.
En location sur l’ile de Guadeloupe, Jean-Pierre a voulu essayer la seule plage naturiste autorisée de l’île, depuis des décennies, celle de la pointe de Tarare. Une expérience particulière.
« Les couples arrivent des 8h sur la plage et repartent vers 14h. La plage est fréquentée en moyenne par environ 60 à 80 couples, dont beaucoup de retraités. Ils se connaissent car certains viennent depuis 20 ans, et beaucoup séjournent longtemps. On a parlé avec certains qui arrivent début novembre et rentre en métropole mi avril », dit-il, en précisant que la plupart viennent du nord de la Métropole. Mais, avec un bémol naturiste : « beaucoup connaissent la FFN, certains ont été adhérents de club, et maintenant ne veulent plus entendre parler de la fédération ».
Comment la plage est-elle fréquentée ? Il ya des couples mixtes, peu de couples guadeloupéens, et surtout une fréquentation matinale par les « métro ». et, a-t-il remarqué, difficile d’éviter les voyeurs ou dragueurs, surtout l’après-midi. « La plage bénéficie d’une tolérance car la police passe de temps en temps pour demander si il y a des problèmes. L’après-midi, il reste beaucoup moins de monde car beaucoup de voyeurs arrivent et se planque dans les fourrés ».
Jean-Pierre, malgré son long séjour sur place, ne renouvellera pas l’expérience. « Nous ne retournerons pas à cette plage qui donne 2 h à l’aller et 2h au retour pour 80 kilomètres de distance ». Pour la pratique du naturisme, il préfère se contenter de la seule résidence naturiste de l’île, toutes les autres étant sur celle de St-Martin.
POUR NE RIEN MANQUER, ABONNEZ-VOUS
A NOTRE NEWSLETTER HEBDOMADAIRE
