Simone et André Gaillard étaient des précurseurs d’une philosophie alliant nature, espérantisme et naturisme. Leurs chroniques des « centres pour la nature » est parue le 13 juin chez L’Harmattan.
André et Simone Gaillard sont des pionniers au XXe siècle du végétarisme en France. Dès 1927, ils réalisèrent le lien avec le naturisme au Centre Gymnique de France, à Villecresnes, les exercices physiques au Fémina-Sport d’Alice Milliat et à Physiopolis des Durville, et le « Trait d’Union » de Jacques-Colin Demarquette, Société Naturiste Internationale de Culture Humaine.
Végétarien et contre l’exploitation des animaux, leur programme pour faire vivre leur « Centre d’information et de documentation pour la Nature » est décrit dans un ouvrage signé André Gaillard et publié le 13 juin 2024 aux éditions l’Harmattan. Poursuivant les travaux de la « Société Végétarienne de France » et l’œuvre du Docteur Paul Carton, l’idéal naturiste veut développer le mouvement espérantiste et pacifiste.
Ces textes, rassemblés par Arnaud Baubérot et André Méry, à la mort de André Gaillard, témoignent d’une civilisation naturiste basée sur la considération de la nature, la connaissance, l’étude, le respect de ses lois, la sauvegarde de la vie, la protection des éléments vitaux de base, dans leur pureté originelle, naturelle : airs, eaux, sols, nourritures ; pensée, esprit, conscience.
Cet ouvrage placé sous la direction scientifique de Bernard Andrieu et David Lorenté, publié dans la collection Mouvements et savoirs, compte 208 pages. A découvrir ICI.
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