La 11e édition de l’exposition annuelle de FocaleNuArt à Villeréal aura lieu du 31 juillet au 8 août 2021, mettant les femmes en avant. Autour de l’invitée d’honneur, Angélique Boissière. tous les exposants viennent d’être révélés.
Le jury, composé de 8 hommes et 8 femmes, a rendu son verdict, et la liste des participants à la 11e édition des Rencontres photographique de nu artistique a été publiée ce jeudi 8 avril, enfin de journée. Ils seront 11, dont 2 femmes, autour de l’invité d’honneur, Angélique Boissière : Laetitia Michèle, Diane G, Alain Richard, Caltar, Thierry Smets, Ted, Laurent Ringeval, Richard Lavey, Claude Kerleu, Bernard Pulcini et Serge Ferreux.
Plus d’informations sur ce festival sur le site de l‘association.
Hébergement naturiste proche (10 km) : Domaine de Laborde.
Angélique Boissière, et les Marées
Après son projet Marées, publié en 2018, exposé plusieurs fois et décliné en un premier livre, et actuellement en réédition, « Angélique Boissière se dévoile un peu plus dans une série d’autoportraits argentiques réalisés au moyen format. Captée au fil du temps depuis 2014 – et toujours en cours –, cette nouvelle série prolonge son travail de portraitiste et renvoie aux réflexions sous-jacentes à Marées« , écrit à son propos le site Croisonsnosregards. « Tout portrait peint avec sincérité est le portrait de l’artiste, et non du modèle, disait Oscar Wilde. C’est l’une des logiques de cette série d’autoportraits, où la jeune photographe se met en scène directement, sans dissimuler l’outil photographique, là où elle se dessinait seulement à travers ses portraits précédents« .
Jeune photographe de 28 ans, Angélique Boissière exposera sa série Marées, composées de nus féminins en bord de mer, au festival de Villeréal. Ainsi, explique le site Barrobjectif, « Angélique est une des rares femmes photographes à se consacrer essentiellement au nu féminin. Selon ses propres mots, elle fait du « portrait nu « . Mais si la nudité est présente dans ses travaux, elle n’est jamais qu’une manière de s’approcher d’une forme d’essence de l’Homme, dans la lignée de la longue tradition artistique du nu en Occident. Elle donne à voir ces femmes dans leur seule beauté, dépouillées de tout artifice, ramenées dans une espèce d’égalité originelle. Reste alors la pureté de l’émotion cristallisée par le grand noir et blanc« .
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